de Jaime Rosales
Espagne, 2007, 2h13, vost
avec Sonia Almarcha, Petra Martinez
La solitute, La Soledad la chante avec une tonalité surréaliste qui fait penser à Bunuel, et un souci des choses et de leur existence dans la lumière qui rappelle Erice. (Positif)
Il n’y a pas de thèse, mais, avec des moyens de mise en scène simples et clairement affichés, l’ambition de faire éprouver au plus près de tous ses personnages quelque chose d’une impondérable vérité, commune à tous. (Les Cahiers du Cinéma)
Le film sera précédé d’une présentation et suivi d’un débat avec le public.
Présentation et Animation : Philippe Serve